Salon de Genève : Skoda Kamiq

0
1620

Super bonne came. Troisième SUV de Skoda, le Kamiq s’est offert sa première mondiale à Genève. Ce modèle ira batailler dans la redoutable arène des crossovers urbains. Et il a un bon nombre d’atouts à y faire valoir, à commencer par son allure de baroudeur propre sur lui, chic, genre Indiana Jones mais en saharienne YSL. Ensemble harmonieux que celui que composent la calandre évasée à double barres verticales, le capot sculpté, ou encore les deux à double étage – feux de jour désolidarisés, «ostracisés» et désormais «refugiés» au niveau du bouclier.

Le profil est fluide, tandis qu’à l’arrière, les feux en C, typiques de Skoda, ont été actualisés. A noter que c’est la première fois qu’un modèle de la marque a droit à des clignotants avant et arrière dynamiques. Doté d’une présentation intérieure élégante et d’une finition digne de celles des cousines de Wolfsburg, le Kamiq propose en option un Virtual Cockpit de 10,25 pouces et embarque, de série sur les finitions hautes, un écran central tactile de 9,2 pouces, maints équipements et une modularité futés, «simply clever».

Côté motorisations, il reprend l’offre de la compacte hatchback dont il est un «produit dérivé», la Scala : 3-cylindres 1.0 l TSI de 95 ch et 115 ch et 1.6 TDI de 115 ch.